Les ranpaçants c'est la vie ... ou la mort (partie deux)

Le logo de Lucios sur des camions qui entrent dans le hangar d'Alois ?!! C'est des faux ? Ou Alois est associé avec le gouvernement ?! Il paraît qu'Alois est à la tête d'une mafia internationale bi-centenaire, ce serait vrai ? Tellement de pu-pu-puissance ! Si y faut, il contrôle toute la planète ! Euh ... depuis Sainte-Lucile ? Mouais, je ferais ma petite enquête. Des gens effrayés sortent du camion ?! Alois leur parle comme des chiens et ils le suivent ?! Il va faire quoi ? Cette entreprise est une usine de bonbons ...
Une idée que j'aime me traverse l'esprit ...   et ça me donne faim. Si je lui demande gentiment, tu crois qu'Alois me laissera en manger un ? Oui, évidemment, c'est un psychopathe. Tout comme nous. Ah, ça y'est, je schizophrène. Coucou ! heureuse de te rencontrer !

Rutile à pas l'air d'aller bien. Il est stréssé et à l'air de ne rien comprendre à ce qui se passe. Son odeur est de plus en plus forte ! Une odeur masculine d'ailleurs mais j'aime pas l'odeur de son stress. Le stress, ça me dégoûte. Brrrr ! ca fait une boule dans la gorge et dans le ventre. J'aime pas ça ! Qu'il arrête. Je vais lui demander à l'oreille.
- (Chuchoté) Hey, ça va ? Tu pues le stress ! Si t'as un problème avec le gouvernement, 'faut pas t'en faire. A Sainte-Lucile, tu risques rien. Le gouvernement ne met jamais les pieds ici. Même leurs meilleurs agents peuvent se faire tuer. Ils n'envoient jamais personne sans escorte et c'est pas arrivé depuis très longtemps. De toutes façons, quand quelqu'un envoie quelqu'un d'autre à Sainte-Lucile, c'est pour qu'il se fasse tuer, alors t'as rien à craindre.
Je commence à lui caresser les cheveux. Ils sont doux !
- Et puis, Alois ne tue pas ses subordonnés. Il paraît même qu'il les protégent tant qu'il en a besoin.

J'ai pas l'impression de l'avoir rassuré. Il commence à me faire mal au ventre. Je mets mon bras autour de son cou et lui chuchote à l'oreille d'encore plus prés de sorte que lui seul puisse entendre.
- Au fait, ton histoire était totalement bancale. Tu veux pas nous dévoiler ton passé, ok, mais invente un truc plus plausible. On aurait dit une fausse identité inventée par le gouvernement ! Et même là, ils auraient fait un truc nul pour que l'agent se fasse tuer ! Fais un peu attention !

-Excuse-moi Louise ... il ... il faut que j'aille prendre l'air cinq minutes.
je crois que j'ai visé juste... et là où ça fait mal. bon, je le laisse chialer dans son coin ou pas? oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oui! non! oh et puis merde, j'y vais! il est sorti par là. allons-y sans bruit. le voilà. il pleure pas. y m'plait c'gamin!   
- laisse-moi deviner: un orphelin recruté très jeune pour ces capacités exceptionnelles qui devient un des meilleurs agents du gouvernement et qui est envoyé pour enquêter sur une mafia puissante parce qu'il est le mieux placé pour réussir cette mission? classique. l'avantage des orphelins c'est qu'ils ont rien à perdre et que personne n'ira réclamer leur corps. tu t'es bien fait avoir ma belle!  
(s'assoit à côté de lui) enfin je dis ça, mais j'aurais pu vivre la même chose. je ne dois ma liberté qu'à ma mère qui m'a toujours dit de ne me lier qu'avec des gens contre qui j'ai des moyens de défense. bon, pour Aloïs, l'occasion était trop belle. quand elle est morte, c'était le crime ou l'orphelinat. j'ai choisit la liberté. mais pas seulement.
(se tourne vers lui et s’approche légèrement) tu vois, je t'aime bien. je te trouve... intéressant. si ça n'avait pas été le cas, j'aurais fait en sorte que tu trahisse Aloïs afin de prendre ta place. mais comme je t'aime bien, je vais te proposer autre chose.
(s'approche progressivement en parlant) vois-tu, pour moi, la liberté est ce qui est de plus important dans ce monde. c'est ma raison de vivre. mais une devise se doit d'être composée de trois mots. de trois mots pleins de sens. de trois mots puissants. c'est le deuxième mot. la puissance. le dernier est tout aussi important que le deuxième. c'est un mot qui veut dire beaucoup de choses pour moi. il s'agit de la vengeance.
liberté, puissance et vengeance.... (pose sa main sur la nuque de Rutile et lui chuchote: ) je te propose les trois.
(met des bouts de métal pointu sur ses crocs du bas et les plante dans un des deux artères du cou) une gorgée. son sang est délicieux. il prend soin de son corps... deux gorgées son odeur se mêle à celle de son sang. c'est si prenant...  trois gorgées. quelle délicieuse sensation. j'en veux encore!... quatre gorgées. dans un moment pareil. avec tant d'émotions. j'adore!... cinq gorgées. je vais m'arrêter là. il pourra plus tenir debout après. je lui met un puissant cicatrisant pour qu'il arrête de saigner. et j'enlève aussi mes crocs.
c'était bon! le sang devrait être une boisson commercialisée. mais il manquerait le plaisir de l'aspirer par les artères et de le voler à sa victime terrorisée! ce n'était pas le cas cette fois mais c'était tellement bon...
- j'attend toujours ta réponse.

- Content de voir que ma déprime te fais rire ... Sympa comment tu me remontes le moral ! Très philosophique ! Nan, sérieusement. Tu crois que l'on est de taille à affronter le gouvernement à nous deux ? Leur faire payer ce qu'ils m'ont fait, c'est vrai que ce n'est pas l'envy qui m'en manque. M'amuser ? Je ne sais pas m'amuser ... Je n'ai jamais véritablement appris. Je n'ai été bon qu'à espionner et ramener des putains d'informations pour ceux qui me trahirais un jour ! C'est vrai, je ne connais pas cette ville mais, il y a des gens qui y vivent, alors elle ne doit pas être si mauvaise. Je dois faire croire au gouvernement que je suis mort et m'installer ici, dans cette ville paummée ? Toi, tu es habituée mais moi ... J'ai toujours vécu plus ou moins bien. Autant à l'orphelinat qu'au gouvernement.
(Regarde en l'air)
- Et puis ... ce servir du réseau O'hard, du réseau le plus puissant de Sainte Lucile pour gravir les échelons, ce n'est pas une si mauvaise idée finalement. (se cache les yeux et sourit) Il va falloir que je m'habitue à cette nouvelle vie ... à ce nouveau jeu. (regarde de nouveau Louise) Ok Louise, si tu me prouves que la vie vaut d'être vécue même ici et que l'on fera tout pour gravir les échelons et faire la tête au gouvernement ... je te suivrais. Après tout, il ne me reste plus rien, autant recommencer tout à zéro. (Met ses bras sur ses jambes et regarde par terre) C'est drôle, à t'entendre, on dirait que la vie t'es égale ...

HRP Je change de couleur pour Rutile sinon, il y aura trop de violet, ca aller devenir relou. Il sera en jaune désormais. (Ca ressemble à du blond comme ses cheveux, voilà pourquoi). HRP

-Tu as tord de parler comme ça ... Quand j'étais petit, à l'orphelinat, j'avais un ami qui m'avait dit ça :"Mourir est à la portée de tous. C'est vivre qui demande du courage." Je n'étais pas apte à comprendre ses mots, mais dans une telle situation ... Tes frères et soeurs ? Mais je croyais que tu étais orpheline, toi aussi. Tu as de la famille, alors ? C'est pas sympa de dire qu'ils ont la mémoire courte, ils sont humains, non ? Faire "chier" le gouvernement ... pourquoi pas ... Après tout, cela pourrait être "amusant", comme tu dis. En gros, tu voudrais que l'on profite de la guerre, des attaques terroristes, pirater leurs ordinateurs, envoyer des messages bizarres, afin de créer le désordre et "emmerder" le gouvernement. Et tout ça à partir de Sainte-Lucile ... Hé bein, t'as de la suite dans les idées. Hein ! Ca sonne pas mal comme programme. Je ne sais pas si on peut véritablement faire une telle chose, mais je pense que ça vaut le coup d'essayer. Et puis, comme tu dis si bien, nous n'avons rien à perdre et tout à gagner. (Se lève) Allez viens Louise, Alois va trouver ça louche s'il nous voit disparaître pendant "sa visite" de ses chers entrepôts. Notre conversation doit rester secrète. Ah, et au fait ... tu as bien entendu, j'ai bien dit faire la "tête" au gouvernement. Je trouve ça plus rigolo que de dire, faire la "fête" comme tout le monde, tu ne trouves pas ? C'est une question de principes, rien de plus.

En une journée, je me suis fait trahir par ceux que je considérais comme ma famille, je me suis fait une nouvelle amie un peu dingue sur les bords et j'ai pris une décision radicale dans ma vie. Hé béh, je sens que ce nouveau départ va être fort en émotions.

(se lève à son tour)
- j'ai jamais dit le contraire, mais la difficulté de la vie ne lui donne pas forcément de sens ou de liens. mais ça aide à la remplir.
bah non, ils sont pas humains. ce sont des chats, je te les présenterais si tu veux.. et si ils veulent.
ok alors on va faire la tête au gouvernement. mais avant, je vais t'apprendre à t'amuser. ça m'étonne que tu n'ai pas appris depuis le temps que tu est au gouvernement. euh... il est parti par où Aloïs?

bah voilà une journée bien remplie! j'ai envie de m'amuser! mais je peux pas. bon on va finir cette visite comme ça on va savoir si il y à vraiment des gens dans les bonbons. ça me rappelle une chanson que j'ai entendue quand j'était petite. ça disait: "in the rainbow factory, where your fears and horrors come true", c'est tout ce dont je me souviens. on m'avait dit ce que ça voulait dire, mais je me souviens plus. en tous cas, ça m'avait plu.

Alois lui, pendant que les deux dépressives se disait que le monde les boudaient, observait la marchandise. Il était contant que le gouvernement soit un client si régulier, après tout ses produits était toujours de bonne qualité. Ni trop gras, ni trop maigres, juste comme il faut. Bon il n’était pas comme la triade de la triple transaction, une vielle mafia de Nacropia, eux prenait toujours le temps de raser la marchandise, se qui facilitait la tache aux Pegasus. D’ailleurs ces Pegasus devaient être choisis. Alois demanda à haute voix :

-Y-a-t-il des amateurs de cuisine ici ? Des mains prirent leur temps pour apparaitre mais quelques une finissaient par se lever. Alois en désigna quatre du doigt et leur dit de le suivre.

A peine fut-ils sortit de la zone O que des Hommes armés se positionnaient a leur cotés et marchait, ceci pour empêcher la fuite du troupeau.

Alois ouvrit la grille de la zone P quand il se rendit compte qu’il manquait deux protagonistes. Il les chercha du regard espérant qu’ils n’aient pas fuit. Mais il les vit courir vers lui. Les laissa entrer par la grille et poussa la porte du bâtiment.

Au centre du bâtiment se trouvaient une grande machine dont le but était étrangement mystérieux. Alois fit installer les quartes choisis sur des tables asses grandes reliés a des tapis roulant pour l’instant au repos. Il demanda aux autres de ce placer dans une pièce jointe, mais en retira deux du lot au dernier moment. Il accompagna les deux autres sur une porte à coté et les fit rentrer. Il leurs expliqua qu’il y avait de la viande ici et que la pièce était une chambre froide.

Les deux travailleur soulagés de le savoir entrèrent et prirent les morceaux de viandes en les mettant sur les tables où se trouvaient les quatre autres. Ce ne fut qu’en les posant qu’ils reconnurent des êtres humains tondus mort par asphyxie. Les prisonniers sous le choc tournaient la tête vers Alois, alors que celui-ci activait un levier près de la pièce où les autres étaient enfermés ce qui fit s’allumer un texte au dessus de la porte marquant « GAZ EN COUR DE PROPAGATION ». Alois baissa une autre mannette et les tapis roulant se mirent en marche des tables jusqu'à la machine au centre. D’un regard il fit comprendre aux autres que s’ils n’obéissaient pas ils iraient dans la même pièce que leurs compagnons. Les deux transporteurs se remirent donc en route. Alois marcha alors dans la pièce et se fit interpelé par une dame de cinquante ans environ qui lui demanda :

-Excusez moi monsieur mais que devons nous faire ? Avec un air piteux. Ce a quoi alois répondit comme si s’était une évidence :

-Et bien vous les désosser et vous mettez la chair sur le tapi qui la mènera dans la machine. Et si vous ne le faites pas on vous tue.

La bonne dame eu un choc et sous le regard d’Alois se mit au travail en prenant un couteau qui était sur le bord de la table.

(HRP) Possible probleme d'orthographe mais resolut bientot (hrp)

c'est des humains! hihihi je le savais! il est en train de les tuer à côté! euh... avec du gaz?
- Alois, si vous permettez que je vous appelle ainsi, j'aimerais savoir la cause exacte de la mort des corps ici présents, histoire de m'assurer qu'il n'y à aucun danger à manger vos bonbons s'il vous plaît.
j'ai pas envie de m'intoxiquer moi! j'espère que le gaz n'attaque que les poumons genre asphixie. ils ont la trouille les petits crétins! il faudra que je demande à Alois si je peux passer ici de temps en temps pour manger quelque chose. en fait, non, je préfère chasser mes proies moi-même. c'est plus rigolo. il faudra aussi que je lui demande si je peux faire chier les comptables. il paraît que c'est marrant. bon, je commence à me faire chier. on continue la visite?