rencontre de deux titans

Dans le grand hall une atmosphère étrange prend place , plus le temps passe plus la rumeur circule : un égal d'Alois O'hard arrive .
La sécurité et organisé en rang serrée et se tiens prés, en face des ascenseurs se trouve Primus, qui semble attendre quelqu'un

Mérimac contemplait la cité à travers la vitre de sa limousine.

- La ville a beaucoup changer... N'est-ce pas Aruil ?
- En effet Monsieur, nous arrivons en vue de la tour O'hard Monsieur.
- Bien...

La tour O'hard, chef d'oeuvre d'architecture... et de vanité, à l'image de son créateur.
Alois avait demandée à ce que Mérimac le rencontre. Ils s'étaient disputée longuement sur le lieu de la rencontre et à contre-cœur Mérimac avait acceptée d'aller sur le territoire d'Alois. Mais il n'y allait pas sans protection, deux gardes du corps suivaient de prés la limousine et il avait demandée à ce que un sniper se poste sur l'immeuble d'en face et surveille le bureau où se passerait la rencontre, lui-même avait dissimulé un couteau sur lui.

La limousine se stoppa juste devant l'entrée.

- Attendez moi là. Et vous deux, il désignait les gardes du corps, au moindre problème vous montez.

Mérimac sortit de la limousine et fit son entrée dans le bâtiment.

- Vulgaire...

C'était le premier mot qui venait à l'esprit de Mérimac en rentrant dans le hall. Une statue de bronze et un luxe omniprésent

- Il ne se refuse rien..., pensa-t-il en souriant.

Mérimac se dirigea vers les guichets pour annoncer son arrivée afin qu'on le conduise à Alois.

Primus se dirigea vers Merimac:
- Monsieur je vous demanderait de me suivre , puis il chuchota : cachait mieux se couteau je vous prie , il est extrêmement voyant .
Bien que Merimac ne compris pas tout a cause du masque de Primus.
puis Primus partit vers une porte en incitant Merimac a venir .

Mérimac suivit l'homme au masque tout en essayant de trouver un endroit mieux adapté et moins voyant pour le couteau.
En voyant la sécurité il ne put s'empêcher de dire en souriant:

- Tous ces hommes est-ce seulement pour moi ou Alois a-t-il tellement peur qu'il a besoin de ça pour se protéger ?

-Monsieur a juste peur que vous ne suiviez pas ses attentes en ne suivant pas les préceptes évoquaient par téléphone.
Puis après un temps de marche ils arrivèrent dans une salle .
-Monsieur ne vous inquiétez pas un gaz va sortir des aérations , il n'est pas nocif pour vous , il permettra de tuer les parasites organique qui pourraient être sur vous . ce n'est qu'une consigne de sécurité.

- Ahahahaha ! Alois a vraiment peur alors !

Voyant le gaz s'échapper de l'aération, Mérimac ne pût s'empêcher de frissonner, il avait la main sur la commande d'appel à l'aide au cas-où.

- J'éspére que ces conneries vont bientôt être finies, que je puisse enfin voir le fameux Alois.

-Bien sur monsieur .
sur ce la pièce se mit en mouvement et un mur coulissa pour laisser entrevoir la ville . La pièce était en fait un ascenseur .
- Nous allons au sommet cela ne sera pas long. Veuillez excuser ses procédures mais maître Alois et un passionné de théâtrale

- C'est pas trop tôt...

Mérimac rentra dans l'ascenseur et en profita pour examiner l'homme au masque de plus prés. Sa peau pâle contrastait avec le reste de ses habits complètement noire hormis les fils d'or qui formait les emblèmes des O'Hard et probablement de sa famille. Chose étonnante ses yeux et ses ongles étaient rouges.

Mérimac profita de ce court instant de calme afin de contempler à nouveau la ville mais depuis un nouvel angle.

et enfin le voyage se stoppa , il ne resta qu'une porte entre Merimac et Alois .
et juste avant d'ouvrir la porte primus dit d'une voie calme :
- un geste suspect et vous mourez , ne le touchez pas ou vous mourez , se sont les seuls directives.
et avant qu' arkanix puissent répondre il ouvris la porte donnant sur un bureau au décoration surchargées devant une baie vitré immense pouvant rivalisé avec un lac.
et devant se trouva une silhouette que Merimac reconnue comme Alois o'hard , la pourriture qui refusait de couler .

Avant de rentrer Mérimac souffla au majordome :

- Sauf si je le tue avant...

Mérimac rentra dans la salle et prit un instant pour regarder ce qui l'entourait.
Encore il se retrouvait dans une salle qui respirait le luxe,surchargée et avec une baie vitrée plus grande que sa propre limousine.

- Tu ne te refuses rien à ce que je vois... Bon je n'ai pas beaucoup de temps alors allons directement à l'essentiel veux-tu.

Mérimac regarda au dehors de la baie vitrée pour tenter de repérer le sniper qui devait normalement assurée sa sécurité.

LA silhouette ne broncha pas et resta silencieuse . durant plusieurs minutes Alois ne fit pas un mouvement . quand merrimac perdis patience et quand il s’apprêta a partir en lançant une injure . Alois tomba raide sur le sol.
Merimac se figea sur place : Alois raide mort alors qu'il n'avait rien fait.
Mais il entendis un rire qui se répercuta dans toute la pièce , et il vit Alois sortir de sous son bureau et chantant :
-Il n'a pas tenus longtemps le petit Merimec , Il a pissé dans son froc le petit Merimac.
voyant le regard d'haineux de Merimac a son encontre Alois arrêta de chanter.
-hoo ça va rigole un peu c’était drôle , Mais bon parlons sérieusement.
Alois s'assit et se mis a trembler . puis il eclata
Nan je peut pas desolé t'est trop drôle , tu verrait ta tête , puis il partit dans un fou rire incontrolable

Quand Alois eu finit de rire de son soit disant égal, il se prit une tête des plus malsaine :
- Bon  soyons plus sérieux, j’ai fait en sorte que nous soyons coupé du monde dans cette pièce, aucun de mes mercenaires ne peut venir ici.
Puis Alois eu comme un éclair de génie :
- Ho oui, les voyeurs j’ai faillit oublier, Primus ferme les rideaux.
Alors que Primus s’exécutait  Alois pris un de ses pistolets a sa taille et le tendis a Merimac
- Tu en veux un ?
-Monsieur ! répliqua Primus avant qu’Alois ne puis donner l’arme, Je rappel a monsieur que monsieur son invité peut être un agresseur potentiel, et je vous serais gré de ne pas détruire les mesures de sécurité que j’ai mis en place.
- Tu n’es qu’un rabat joie.
Alois se mit à bouder et s’installa dans son fauteuil  et suçant une sucette.
- Assit toi voyons, tu ne vas pas rester debout Meri, si?

[hrp] après plusieurs réclamation de merimac , Primus ne fait qu'activer l'interrupteur , il ne court pas dans la pièce avec le rideaux [hrp]

[HRP] Bon, il était temps que je revienne pour continuer le RP. Excusez-moi de mon absence mais moi avoir été fatigué et moi avoir eu beaucoup de travail. [/HRP]

Mérimac venait d'assister à une scène mémorable, Alois avait fait renforcé la sécurité justement parce que Mérimac venait dans la tour, et celui-ci avait eu la brillante idée de lui tendre un pistolet.
La seule personne avec du bon sens semblait être son majordome qui lui avait tout de suite conseiller de ranger l'arme. Effet secondaire : Alois s'est mis à bouder.

- Assis-toi voyons, tu ne vas rester debout Méri, si ?
- Pour toi se sera Mérimac.

Mérimac prit la chaise en face de lui et s'assit.

- Comme je te l'ai déjà dit, allons droit au but. Si tu m'as fait venir ce n'est pas pour jouer à tes petits jeux je présume.

Mérimac fixait avec des yeux froids ceux de Alois.
Il se retrouvait dans une position fort dangereuse. Avec les rideaux fermés, le sniper qu'il avait mis pour surveiller leur entretien n'avait plus de visuel.
Mérimac ne put s'empêcher de vérifier que son couteau était toujours là.

- Sait-on jamais... Pensa-t-il

-Ha oui c'est vrais ! S’exclamât Alois, qui avait totalement oublier ce pourquoi il était la . il sortit d'un de ses tiroirs une carte de saint Lucile qui posa sur la table :
- voit tu la Municipalité va , selon les rumeurs , faire un réaménagement du quartier est . Ceci pour éviter que son état ne s’aggrave . Alois fit une pause pour être sûr que Merimac comprenait : Le problème est qu'aucun de nous deux ne veut que le quartier devienne vivable . De par ce fait, au lieu de faire n importe quoi , je pense, que nous devrions unir nos forces et faire un superbe pied de nez a la municipalité .Tu comprend ? J'ai réfléchis et Primus a trouvé un plan pour stopper la remise a niveau du quartier est .
Alois pris un marqueur et refit avec soin les contours du quartier est :
- Pour qu'un quartier soit vivable il faut qu'il soit ouvert n'est ce pas ? Et bien pour ne pas qu'il le soit il faut le fermer ,Et pour fermer une chose, il n'y a rien de mieux que ... dit'il en achevant son tracé : UN MUR ! il pris un pose théâtrale et poursuivit :
-Imagine que l'on raconte qu'il y a une surpopulation dans le quartier est et que celui ci risque de reborder sur les autres . Les quartiers nord et sud vont être en effervescence et vont demander a la mairie de les protéger . Le maire ne sait pas quoi faire et on propose ce projet avec des aides financières , et d'ici noël le mur est bâtis et la mairie est dans l'incapacité d'aider le ghetto ! Et on n'en ressort avec de l'argent a plein pot !
Primus avait dit a Alois que pour que Merimac accepte il fallait rappeler les possibles capitaux .
-Alors, verdict ? Demanda Alois avec impatience .

- Un mur... Un mur ! Non mais ça va pas !? Te rends-tu compte seulement des coups de construction. De plus la construction de ton mur doit être approuvé par la mairie, ce qui me semble un peu difficile. Et quand bien même ils accepteraient, tu crois que les gens de ce quartier vont rester sagement sans rien faire ? Mais tu réfléchis au moins !

Un mur... Il croyait quoi ? Que la mairie allait lui obéir comme un petit chien et le laisser faire ? De plus les gens du quartier Est allait sûrement se soulevait dès qu'ils entendraient ou bien quitterait le quartier avant la construction du mur.

- Si tu n'as rien de mieux, je pense que tu m'as fait venir pour rien, de plus je ne vois pas en quoi je suis impliquée.

-le maire ne m'aime pas , en revanche toi tu est jeune, il te veut a sa botte . Si tu lui propose ça il acceptera sans rechigner. Pour les financements , contrairement a toi j'ai de la main d'oeuvre a foison, les prix ne sont pas un problème .
Alois pris un pose un peut plus détendus sur sa chaise puis en regardant vers la bais vitrée en prenant une moue désintéressé :
- Et puis franchement , tu manque cruellement d'ambition . c'est pas grave je demanderait a Wiver . Tu peut partir, je n'ai pas besoin de seconde zone .

- OK... Maintenant fait réfléchir ta cervelle... Tu penses réellement que le quartier restera passivement à regarder le mur qui les enfermera se construire ? En plus lorsque tout sera fermé, tu seras en première ligne face au quartier...

Mérimac regarda au dessus de l'épaule d'Alois pour vérifier si le rideau était vraiment un problème pour le sniper.

- Peut-être que le sniper peut voir les ombres derrière le rideau... Pensa-t-il.

Mérimac se mit à réfléchir à une autre solution, le quartier Est posait en effet problème mais il fallait régler ce problème avec une solution discrète et qui permettrait d'éviter l'insurrection.

- Je suis néanmoins d'accord avec toi, il faut régler ce problème mais d'une façon discrète qui nous évite d'être mis en avant dans cet affaire...

-tu vois le mal partout ! déclara Alois en s’étirant, puis il ajouta avec un sourire moqueur : et moi je ne crains pas de me battre au front.
Mais son visage se raidis, Pourquoi diantre Merimac regarde fixement le rideau depuis tout a l’heure ? Ils étaient magistraux ca personne ne pourrait le nier Rouge bordeaux, avec des petits pompons, le tout installer sur un système électrique pour pouvoir cacher toute la baie vitrée. Il est vrais qu’alois avait mis une somme plutôt imposante dans ces rideaux, il faut dire que pour cette taille, il n’y avait que du sur mesures. Cousue main dans les contrée orientale de Turenstan, et ce par les ouvrier de son cousin, avec le symbole des O ‘hard cousue en fil d’or dessus, le seul problème était que parfois que des ombre provoqué par le lustre de Crystal permettaient de connaitre sa position dans la pièce. Mais bon, la baie vitrée était sécurisée, seul un fusil-sniper, et encore un puissant, pourrait la traverser.
-Enfin si cela ne te plais pas, je ne te forcerais pas. Après tout je ne t’ai pas fait venir ici juste pour ça. La municipalité reste un problème mineure, si un jour les policier pourrait entrer dans le quartier est sans pisser dans leur pantalons, ca sera peut-être un problème plus grand. Puis Alois regarda Merimac dans les yeux en poursuivant : Si tu es la c’est pour signer ce contrat. Dit ‘il en montrant ce dernier a Merimac. Signe ce bout de papier et tu seras mon potentiel héritier. Je ne te ferais pas le récit des traditions de ma famille, sache juste que si tu signe se papier, la personne qui choisira mon héritier, je ne te dirais pas de qui il s’agit ce n’est pas la peine de demander, aura le choix entre toi et quelqu’un d’autre. Alois fit une pause pour bien laisser le temps à Merimac d’imprimer. Ceci par contre, tu te doute bien, implique des clauses : La première, si tu me tue le choix et nul et mon héritage revient a l’état de Noblaten ; et la seconde, si l’héritage te revient ton nom complet sera Merimac Lautran O ‘hard, chef de famille des O’ hard, et entre autre Président Directeur General des industries O’ hard ainsi que propriétaire de mes terrains ; et la dernières, crée spécialement pour toi, tu devras être actionnaire dans mon entreprise.
Alois pris un stylo, et le tendis a Merimac :
-Le choix te revient, Fait comme tu veux.

- Le mouton invite le loup dans la bergerie... Parfait, cela m'aider à grandement. Pensa-t-il.

Néanmoins, un point turlupiner Mérimac

- Actionnaire ? À combien de pourcent ? Combien devrais je investir ?

Ce contrat était une occasion en or, si il était choisi, il prenait le contrôle des industries et aurait ainsi plus d'influence. Cela aiderait grandement son plan. Et s'il n'était pas choisi...

- Je demeurerais actionnaires, et je pourrais mettre a profit cet avantage. Je n'aurais qu'a m'occuper de l'héritier choisi et prendre sa place.

Alois relâcha alors un profond soupir. Pourquoi il avait pris un pingre pareil? … Ah oui c’est vrai ! C’est le seul dans cette ville qui sait contrôler un peu ses subordonnés et une entreprise sérieuse en même temps. Enfin c’est ce que Alois croyait, après tout Primus se suiciderait surement a sa mort. Le pauvre.
Enfin maintenant il devait répondre à la question la plus inutile de l’Univers, avec un grand « U ». Combien il devait investir ? Mine de rien, c’est une question difficile : pas trop sinon il fera tout pour handicaper la production, et sinon, a l’inverse, cela ne servira à rien, le but est qu’il comprenne le fonctionnement des usines O ’hard. Réfléchissons … Ho et puis zut !
-j’en ai rien à contre-foutre.
Dit-il en plantant le stylo dans les mains de Merimac. Puis en le reprenant de suite.
-attend … J’ai une idée. Dit-il avec la tête d’un homme qui comprend le sens de la vie, Je te donne le droit d’être présent à mon conseil d’administration, en l’échange que tu fasses de même. Et on ne s’embête pas avec les actions. Puisque que tu tiens à ce point à ton argent. " Au moins mon argent sera en sécurité avec lui. Il me fait penser a un petit veaux devant l’abattoir, qui demande à être égorgé avec du fil d'or, amusant le petit geek. "

- Ça m'arrange pas...

Non, le simple fait de ne pas être actionnaire mais de tout de même siéger au conseil d'administration des infustries O'Hard est un non-sens. Mérimac n'aurait aucune influence.
Non, il fallait une autre solution qui protegerer nos deux entreprises l'un de l'autre.
Mérimac se leva et fit le tour du bureau, il se dirigea vers la baie et écarta les rideau du boit des doigts pour regarder au dehors. Quelques secondes plus tard, il se retourna, Alois était toujours face à son bureau, dos à lui.

[i] - Une chance parfaite si je voulais l'abattre [i]

- J'ai autre chose à te proposé...

Mérimac posa ses mains sur les épaules d'Alois.

- Je vais bientôt entrer en bourse et en profiter pour nommer un nouveau conseil d'administration. Fait de moi un actionnaire à... Disons 18 ℅ des industries O'Hard, tout en me nommant à ton conseil d'administration. En retour JE te ferais actionnaires à 18 ℅ de Arkanyx Entertainment tout en te nommant à mon conseil d'administration.

Mérimac retira ses mains des épaules d'Alois et retourna devant le bureau, debout, en fixant Alors dans les yeux.

- Ainsi nous pourrions gagner en influence en faisant une "alliance" de nos entreprises. Qu'en penses-tu ?

Paf. Ce fut la seule pensée d'alois durant près de trente seconde, résumons : 1 , merimac fout un vent magistral à Alois;2 , il tourne , littéralement, autour du pot ; 3 , il a une révélation en regardant la fenêtre ; 4 , il se met à lui molester l'épaule ; 5 , il lui propose la même chose que lui , mais à la différence que, ils aurait un appuis l'un sûr l'autre.
Soit excepté le point 4 , les actions de merimac tournaient en sa faveur.
-et bien soit , je suis en accord . Tu peut signer.
"Non mais ho! C'est toi qui est le rabas joie ici , je ne te permet pas de remettre en cause mes contrats à l'avenir!" pensa Alois , sans en laisser paraître quoi que se soit.

Mérimac prit le contrat, le stylo et signa.

- Voilà, tu n'as plus qu'à faire ce que l'on à dit, dès que je rentrerais en bourse je te nommerais à mon conseil d'administration et je te ferais actionnaire. Respecte ce que l'on a dit, c'est tout ce que je te demande, sinon tu le regretteras.

- Le loup vient d'entrer dans la bergerie...

- Autre chose ?

Au moment même ou Merimac retira le stylo du papier, Alois retira d’un mouvement rapide le contrat du bureau, puis le plaça avec attention dans un tube puis le sella d’un cadenas avec deux clés dont il rangea l’une d’être elle dans sa poche puis plaça la seconde sur le bureau. Puis il se leva, lança le tube contenant le contrat a Primus, et ouvrit une porte sur le coté gauche de la pièce, en disant a Merimac :
-Tu as mangé avant de venir ? Non par ce que j’ai  fait mettre une table pour deux personnes, dans la salle de musique.
« Apres tout, j’ai besoin d’un minimum de connaissances sur le fonctionnement de son entreprise, et idem pour lui. Et surtout j’ai faim ! J’y pense, il est orphelin, personne ne lui a expliqué les règles de bienséance dans des repas de la classe bourgeoise. Il va être complètement perdu dans ses couverts ! » Il faut savoir qu’Alois avait habitude de manger avec tout les couverts possible a chaque repas ( Fourchette ; Couteau ; Paille ; Pincettes ; Cuillère a absinthe, bouillons, caviar, crème, escargots, œuf , œuf a la coque, poissons, potage, sauce ;  couverts a poissons ; etc. .. ainsi qu’avec quatre assiettes( plats principal, entée , dessert, soupé) et quatre verres  (vin blanc, vin rouge, eau, flute a champagne ). Et bien sur Alois connaissait l’utilité de chacun d’entre eux. De plus maintenant que Merimac était en quelque sorte son hérité, il se devait donc de l’éduquer. Il laissa alors échappé un petit sourire satisfait.


[HRP] Oui, j’ai plus listé des couverts qu’autre chose. Et en plus il y en a des sillions de milliard que je n’ai cité, donc ce n’est pas la peine de le faire une liste, SVP [HRP]

-Tu as mangé avant de venir ? Non par ce que j’ai fait mettre une table pour deux personnes, dans la salle de musique.

De plus en plus bizarre cet entretien. Mérimac accédait d'une façon complètement bizarre à un statut qui lui donnait beaucoup de pouvoir. Alois avait en plus un comportement très bizarre, à peine le contrat signé qu'il lui arrachait des mains. Et maintenant il lui proposait à manger.

-Pourquoi ?

Mais après tout Mérimac avait faim.

-S'il voulait me tuer il l'aurait déjà fait et maintenat que je suis son futur héritier il n'osera rien me faire, surtout dans sa propre tour.

-Très bien, je te laisse me guider. Dit Mérimac en se levant de sa chaise.

Par un habile mouvement du poignet et d'une façon très discrète, Mérimac rangea le couteau dans une des poches de son habit. Un moyen de vérifier si l'homme au masque le remarquerait et d'ainsi pouvoir mieux évaluer son niveau de dangerosité.