Les ranpaçants c'est la vie ... ou la mort (partie deux)

Les grandes cheminées de L’usine pointaient vers le ciel, les bâtiments en briques menaçant respiraient un calme incommensurable. Diane était dans sa voiture. Elle portait un mini short en jean et un débardeur rouge. Ses cheveux teintés en mèches arc en ciel était en queue de cheval attaché par un ruban bordeaux. Elle entra dans la propriété dans un geste machinal, comme a son habitude. Elle remit le volant en place et retira le contact. Elle sorti de sa voiture et ouvrit la porte arrière pour mettre sa blouse blanche. Une fois fait elle prit sa mallette et se dirigea vers le portail électrique.

Avant d’avoir pus continuer elle entendit un son de moteur plutôt étrange. Une moto violette déboulât dans l’entrée en faisant une belle marque de pneu sur le goudron. Diane, surprise, n’eu pas le temps de dire quoi que se soit qu’une autre moto arriva. Elle réfléchit, que venaient faire deux motos sur un parking d’usine…

Diane se dit que ce ne devait pas être important et voulut reprendre son action d’ouvrir le portail mais un autre véhicule perturba sa concentration. Une limousine noire facilement reconnaissable entra dans le parking. Elle s’arrêta juste devant Diane et Elle ouvrit la portière d’un mouvement solennel. Alois sortit, mais pas habillé de la même façon qu’en y entrant.

Il portait une chemise grise avec une lavallière, un veston noir et un long manteau noir. Il avait des petites lunettes de soleil rondes et une écharpe. Un pantalon serrée et des chaussures fine noire toute les deux, il tenait sa conne a la manière d’un sceptre. Son manteau avait de la fourrure sur le col et Alois secouait la tète dedans. Il soufflât de joie et un peu de fumée sorti de sa bouche à cause du froid de la matinée.

Il portât un coup d’œil en arrière et vit ses deux nouveaux employés. Faisant une moue il demanda à Diane lequel des deux était arrivé le premier. Elle lui répondit en levant le bras vers patte sombre. Il fit un rapide regard entre Rutile et Louise, puis dit a Diane :

- 500 000 pour la fille aux cheveux bleus 450 000 pour l’autre.

Diane comprenant la présence de ses filles leur fit un mouvement de la main les incitant à venir tout en disant à son patron :

-Et bien tu as du gout pour dénicher des beautés, mais elle fait quoi en robe l’autre ?

-Très bonne question.

-Ca doit encore être un cas.

Une idée germa dans l’esprit d’Alois mais il ne la fit pas la trouvant stupide illogique et dénuée de sens il ne la fit pas.

c'est moi qu'elle pointe du doigt la fille-arc-en-ciel ?! j'espère que je l'ai énervée en déboulant comme ça sur le parking. bon on verra bien. on va essayer d'entendre ce qu'ils disent.
"- dénicher .. beautés" euh je dois le prendre comment?
"- fait quoi .. robe l'autre .... être un cas" ok maintenant je vais faire plus attention à ce que je met. ça m'apprendra tiens 

Diane, quand les deux compères arrivèrent, se mit à les regarder avec attention. Elle les observa avec son œil vert acide sous toutes les coutures. Elle finit par se relever en faisant une moue.

-Elles ne sont pas très épaisses, surtout le bleutée là. Laquelle est ma supérieure ? Demanda-t-elle avec malice.

-La blonde. Répondit blasé Alois.

-Ca tombe bien c’est la plus plate. Diane rigolât de sa petite blague et fit, enfin ce qu’elle voulait faire depuis le début : Ouvrir le portail.

Le grincement sinistre de portes de l’usine remplit l’air. On respirait, on mangeait, on vivait ce son. Le métal se frottant l’un contre l’autre, déchirant, s’arrachant leurs parois, partageant leurs douleurs, soutenait le passage entre le monstre et l’enfant qu’étaient Alois.

Ce dernier dans un pas radicalement neutre te froid, rivalisant avec les camps militaires les plus durs de Girmania, son manteau s’envolant dans le vent, à cause du mouvement, d’un air sinistre. Sa canne faisait un son répétitif, meurtrier, et destructeur.

Il passait devant les bâtiments d’un air impassible alors que des lumières s’allumaient dans ceux ci.

-Si vous ne voulez pas manquez le spectacle je vous conseille de le suivre. Mais de loin, il ne faut pas le déranger pendant qu’il fait soin truc là.

En effet Alois faisait plus que de marcher sinistrement, il se rappelait chacune des personnes qu’il avait assassiné jusqu’a aujourd’hui. En premier ses parents, son oncle Adolf, Cédric, puis ceux qui avait moins d’importance, ses victimes secondaires, les ingrédients de ses produits, des dégâts collatéraux… Tout ca pour quoi ? Pourquoi ? Pour qui ? Avait ‘il un mobile ? La folie… Une raison valable ? La folie… Une pulsion ? La folie… Tout ce qu’il était il le devait à sa folie meurtrière. Tuer. Tuer. Tuer.

Là, s’il pouvait remonter le temps et avoir une enfance normale, le ferait ‘il ? Sin il pouvait sauver des millions de vie juste en se tuant, le ferait ‘il ? Bien sur que non. Il était égoïste, comme un enfant. Il était un enfant, juste un enfant. Un enfant privé d’enfance. Alors quoi allons-nous le priver de son enfance si durement mérité ? Enfin il pouvait faire ce qu’il voulait. Il avait le pouvoir, la force, et la puissance. Il était surpuissant. Jamais on ne pourrait l’arrêter pour la simple raison qu’il nous arrêta avant. La mafia O ’hard ? De son coté. Le gouvernement de Noblaten ? De son coté. Celui de Lucios ? De son coté. Arkanix ? De son coté. Le monde ? Bientôt dans le chaos. Sa puissance était incommensurable.

Incommensurable… C’est quoi ce mot ? Ca veut dire quoi, sans commensure ? Dans ce cas là une commensure s’est quoi ? Halala la langue était bizarre parfois, encore un mot à ranger dans la catégorie stupide.

Sans vraiment le savoir il était arrivé dans la zone O. Il ouvrit en grand et attendit l’arrivé de ses nouveaux employées ainsi que celle de l’ancienne.

-Elles ne sont pas très épaisses, surtout le bleutée là.
elle commence à m'énerver celle-là!
-Ça tombe bien c’est la plus plate.
elle provoque en plus! je lui collerai bien une balle entre les deux yeux moi. du coup, c'est une fille? mais c'est une planche à pain! un peu comme moi. bon je veux pas la blesser, et c'est ma supérieure je crois.
-Si vous ne voulez pas manquez le spectacle, je vous conseille de le suivre. Mais de loin, il ne faut pas le déranger pendant qu’il fait son truc là.
-Très bien, alors nous allons le suivre. J'ai hâte de visiter cette très belle usine et de voir de quoi elle est faite et qu'est-ce que l'on y fait.
elle est polie elle. elle doit pas être susceptible ou elle cache bien son jeu. j'aimerai bien la connaître.
euh elle me regarde l'arc-en-ciel là?
-euh, la même.
merde c'était pas la meilleure chose à dire. tant pis, je l'aime pas de toutes façons. bon bah, on y va. ils sont tous dans leurs pensées là. il se pavane pas un peu le patron? bof, on s'en fiche. voyons l'autre recrutée. joli visage. elle à l'air de se poser des questions. si il faut, elle est pas là de son plein gré. je l'aime bien. si elle me demande je pense que je l'aiderai. mais au fait, d'où elle vient? il me semble l'avoir jamais vue. mais je peux pas connaître tous les visages de Sainte-Lucile. mais je lui demanderai. de toutes façons j'aime bien savoir à qui j'ai affaire. enfin bon, je l'apprendrai bien vite, j'adore fouiner    mais j'y pense, elle pourra me donner pas mal de renseignements sur Alois! ok je pense pouvoir créer une petite complicité avec l'histoire des planches à pain. et si elle aime le sang, on pourrait même finir cette histoire pour toujours, si tu vois ce que je veux dire, euh.. moi. voilà que je deviens schizophrène moi. tant mieux, plus on est de fous, plus on rit!    euh, c'est moi ou on est dans un hangar là? pourquoi on est là? on va visiter des camions?

La zone O la zone de livraison, c’est plus un hangar qu’une zone de production. Des camions portant le logo O’ Hard sont garés calme et impassible, comme des camions. Des toiles d’araignées pendent des poutres au plafond. Et de la poussière recouvre presque tout le sol. Alois, a l’arrivé de ses trois faire-valoir, se mit face a eux en souriant comme un enfant :

-Diane, dit il en la pointant du doigt théâtralement, à quelle heure arrivent-ils ?

-Dans une demie heure monsieur.

-On a tout notre temps alors… Il fit un signe a Diane qui couru chercher quelque chose, puis se mit au centre de hangar, il sortit et arma sa canne. Deuxième mission ! De type coopératif, Me battre en étant en équipe. Il y a des armes un peu partout dans cette pièce vous devrez pouvoir vous débrouiller.

Apres avoir dit ca il tira en direction de Patte sombre et balança sa cane a Diane, qui l’attrapa et lui lança en échange une épée fine aussi brillante que de l’eau. Il courra alors en direction des deux protagonistes. Proche d’eux il prit appuis sur son épée et donna un grand coup de pied circulaire son corps entièrement reposé sur l’épée. Suite a quoi il se escalada les murs de la zone et se positionna sur une poutre.

Diane elle s’assit sur un rebord et se mit à lire des dossiers qui étaient dans sa mallette, la canne avec elle.

(HRP) les couleurs arrivent dans une demie heure... IRL)

OH PUTAIN!! de justesse! MERDE, IL ARRIVE!! .. ouf, il était facile. mais totalement imprévisible! putain, il est capable de quoi ce type? bon j'ai quelques secondes pour trouver un angle d'attaque. QUOI?!! JE DOIS ATTAQUER MON PATRON?!! bon tant pis pour lui. ou pour nous. bon, faut s'organiser.
- euh ... salut. ... je m'appelle Rutile ... et toi?
- quoi? .... ah euh ouais salut je suis Pa.. euh Louise éclipse. euh désolée mais faut qu'on trouve un truc là. il pourrait s’impatienter

- Oui, tu as raison ... Bien, tu es forte à l'épée ? Ou aux armes blanches en général ? A moins que tu ne préfères les flingues ?
euh...
-Hey, Louise ! Tiens, prends ça ! On ne va pas se défendre à mains nues face au patron quand même.
-merci!
hey! il à la classe! euh il? du coup je suis perdue là. plus tard!
ok une épée, ça me va. et puis j'ai mon flingue. euh je le laisse où il est pour l'instant, je vais essayer de le surprendre. ok, elle me voit, j'y go! je vais le contourner par sa gauche. l'indéterminé sait se battre apparement.

Elle se débrouillait bien la…le…la….Chose humanoïde…. Putain c’est un homme ou une femme ! J’arrive même plus à narrer !

Enfin bref ! Alois réfléchissait, en même temps qu’il regardait les fine jambes de l’androgyne qui se balançait extrêmement bien, quel gâchis était cette teinte de cheveux qui détruisait son potentiel esthétique. Bon il y avait pire qu’elle, il y avait Diane.

Bon Alois se mit à réagir et poursuivit son combat. Il prit appuis sur sa poutre et courut en faisant frotter son épée sur elle, créant des étincelles tres dangereuse. Il sauta alors d’une poutre a l’autre en faisant des tours sur lui-même, créant avec les étincelles des cercles de lumières, ensuite il y a aussi le fait que la lame était très chaude. Ainsi il arriva sur Rutile ainsi.

-YHAAATAAA ! Cria ’il pour la forme.

belles acrobatie de leurs part à tous les deux. mais je peux faire pas mal moi aussi. deux camions me tournent le dos à ma gauche, je cours! je prend appui sur le bord je la porte de derrière du camion de droite, je saute vers la gauche, j'attrape le haut du camion et en même temps je pousse contre l'autre camion à côté avec mon pied pour me retrouver au dessus du camion de droite. je cours alors vers le mur, je saute, je saute une deuxième fois sur le mur pour faire un salto arrière et me retrouver du même coup sur la poutre. plus qu'à me retourner et... ET MERDE!! ils ont rien vu! Alois va me le payer! je lui fonce dessus, rien à foutre!
-YHAAATAAA !
héhé, il m'a pas vue.   

il est sur l'ancienne poutre de rutile. parfait! je saute sur une poutre parallèle et je ressaute pour arriver derrière lui en lui donnant un coup d'épée, il est maintenant dans mon dos, je fait un salto arrière pour passer au dessus de lui, nos corps sont parfaitement alignés quand je suis pile au dessus de lui, et je lui assène un coup d'épée droit vers la tête. j’atterris derrière lui et me prépare à une attaque.

Apres avoir fait reculer Rutile Alois se permis une seconde de repos. Le temps que la bleutée arrive par derrière et tente de le frapper. Alois pare le coup in extremis de son épée. Puis la fourbe l’attaque à nouveau il se met sur les mains et par avec son pied droit puis attend qu’elle retourne sur le sol pour faire une circulaire avec l’épée, en prenant une impulsion sur sa main gauche. Il se relève et lui assène un coup de pied dans le ventre magistral en criant : « This Is O ’Hard » en Noblaten. (Technique inventée par le duc Leonidas au XII siècle.)
Ensuite il sauta par-dessus la poutre pour revenir sur le sol ferme.

il pare avec son pied?!
argh! (se baisse) ouf! de jus..
"- This Is O ’Hard"
la poutre! ne lâche pas! merde! "bonk"
j'ai atterri sur un camion. il m'a fait voler sur au moins deux mètres! relève toi, il pourrait revenir à la charge! j'espère que rutile me permettra de souffler un peu.

Alois regarda la pauvre qui tombait lourdement sur le camion. Mais quelque chose tiqua son esprit, il chercha à savoir de quoi il retournait, et quand enfin il le trouva il se décala d'un pas sur la droite. Laissant rutile s'écraser comme une gourde sur le sol.

-vous êtes pas de lucios pour rien vous deux. Vos technique repose beaucoup trops sur le visuel. Vous savez le boucans que vous faites quand vous vous déplacez? Sa marche peut-être contre un combattant de seconde zone, mais contre un noblatin ou un girmanien ça n'a aucune chance. Faites comme moi! Crier, sa dissipera le bruit de vos mouvements. Dans tout les cas vous me semblez aptes à votre poste... Alors pour le temps qu'il nous reste je vous propose de vous présenter. On commence par celle en robe de soirée ok? 

alois durant son discourt retourna près de Diane et reprit  sa canne.

- Oh non, Lucie ! Est-ce que ça va ?!
Lucie?! et puis est-ce que j'ai l'air d'aller bien?!!
- Vos technique repose beaucoup trop sur le visuel. Vous savez le boucans que vous faites quand vous vous déplacez?
il sait à qui il parle lui?! je m'entraîne à être discrète depuis que je suis née! il y à que le siflement de la lame qui ait pu me trahir. il faudra que j'y remédie.
-Crier, sa dissipera le bruit de vos mouvements.
euh mouais, ça dépend des situations.
-Dans tout les cas vous me semblez aptes à votre poste... Alors pour le temps qu'il nous reste je vous propose de vous présenter. On commence par celle en robe de soirée ok?
- je suis Louise éclipse, et pas Lucie, et je viens d'ici. la furtivité, c'est mon domaine, sinon je sais faire pas mal de choses et j'apprends vite. pour la robe j'en met jamais d'habitude mais quand je me met à dialoguer avec moi-même j'ai tendance à faire n'importe quoi. mais je sais garder la tête froide quand il y à besoin. quand au travail, je suis à disposition en tous temps, et vous pouvez me demander beaucoup de choses différentes, je sais me débrouiller un peu partout.
à Rutile maintenant. on va enfin savoir qui c'est.

mais pourquoi venir spécialement ici?! y à plein d'autres endroits en lucios pour trouver du travail! et puis il ou elle doit rien savoir sur Sainte-Lucile pour venir ici. je la préviendrai plus tard. c'est quand même très louche. cette ville à une réputation désastreuse. ou alors il veut se faire tuer. si c'est le cas je pourrais l'aider. j'aimerai bien connaître le goût de son sang. il à l'air bon en tous cas. et moi je préfère les muscles fermes et consistants! mais du coup c'est un homme ou une femme MERDE!?!

Alois après avoir écouté les deux histoires ne savait quoi penser, l’une avait raconté presque tout sauf son histoire, et l’autre une qui clochait. Mais vue les compétences d’espionnes de Rutile Alois ne vit pas le poteau rose.

-Et bien c’est mon tour… Quelle histoire raconter ? Pff… Alois n’aimait parler de lui et finalement dit : On va dire que votre boulot est de me découvrir ok ?

Sur ces mot deux camions arrivèrent dans le bâtiment se qui fit se lever Diane. Alois allât chercher au près de la conductrice une palette de papier avec une dizaine de nom marqué dessus ainsi que le logo du gouvernement de Lucios. La conductrice fit voler ses cheveux blonds d’un geste de la tête et ouvrit un des camions. Et à l’intérieur se trouvait des hommes et des femmes, de tout âge et de toute morphologie. Alois les compta rapidement et signa le formulaire et le rendit a la conductrice.

-Diane je te laisse offrir une collation a notre livreuse, je vais expliquer ce qu’on fait ici au jeunes. Diane obeit de suite et se mita draguer la blonde. Alois se mit alors à parler aux humains placés dans le fourgon en criant : Bon vous allez me suivre sagement maintenant où vous ne sortirez jamais d’ici Ok alors en ligne !

Comme des automates les interpelés obéirent et se mirent à suivre Alois en rand ognons, comme si ils étaient traumatisés.