Conseil d'administration de Arkanyx Entertainment

Il était 23h00.

C'était la première fois que le Conseil d'Administration se réunissait dans la nouvelle tour Arkanyx Entertainment. Les actionnaires étaient déjà dans la salle, jeune pour la plupart, il n'y avait qu'un vieux : le second actionnaire de l'entreprise et bras droit de Mérimac.
Ils étaient tous debout en train de discuter autour des résultats financiers de l'entreprise, Mérimac allait annoncer les chiffres définitifs de l'année 2013 et les objectifs de l’entreprise pour les années à venir, ainsi que les projets à venir.

La salle était plutôt sobre, mêlant verre et mur laqué noir, un immense écran était accroché sur cette même baie vitré. Une immense baie vitré donner une vue sur la ville. La salle était parcourue d’écran et une grande table noir laqué était au centre de la pièce. 15 sièges étaient autour de la table, des petites plaquettes d'or avec des noms écrit dessus indiquait la place des différentes personnes du conseil. Une nouvelle plaquette avec un nom inconnu aux autres actionnaires était apparu : Alois O'Hard. Des tablettes était en face de chaque siège.

- Ou est Monsieur Lothran ?
- Je ne sais pas, il ne devrait pas tarder, il n'est jamais en retard, la réunion commence à 23h15.
- Vous connaissez cet O'Hard ?
- Oui, un excentrique qui réside dans le quartier Est, patron d'une usine de bonbons il me semble. Plutôt riche.
- Qu'est ce qu'il fait là ?
- Mérimac nous expliquera, crois moi. Mais revenons à nos moutons, apparemment les chiffres que va annoncer Mérimac ce soir seront en dessous des attentes.
- C'est la rumeur qui cours, mais crois moi que...

Voilà les discussions qui animait les membres du Conseil d'Administration avant le début de la réunion qui ne devrait plus tarder.

Alois se considèrerait sois même comme une personne de gout d’un point de vue décoration. Bon il était plus Rococo et baroque, fantaisiste et excentrique, mais il fallait qu’il accorde à la tour Arkanix, toute neuve sortie de son œuf, une beauté sans pareille. Le design était magnifique, une sobriété quasi parfaitement maitrisée, autant dire qu’Alois faisait un peu tache dans un tel univers.

Pour l’occasion il s’était mis sur son 31, et avait mis son habit d’apparat en tant que conte de Noblaten, car oui les O ’hard était aussi de la noblesse de Noblaten. Hélas ces vêtements n’avaient rien à faire dans ce contexte, il portait une chemise blanche et un veston noir ainsi qu’une lavallière blanche, puis un manteau noir long à épaulières blanches nacrées, ainsi qu’une broche en Etoile symbole de son rang. De plus un magnifique chapeau haut de forme se tenait fièrement sur sa tête

Il devait avoir un sabre d’apparat mais la sécurité de la tour l’en aurait empêché, c’était d’ailleurs la raison pour laquelle il n’avait pas sa canne habituelle mais une noire et argent elle tout à fait normale, si on exceptait sa beauté. Un faucon ouvrant les ailes se tenait au-dessus et le reste était d’un noir profond. Elle appartenait à l’origine à un général nezia de l’empire de Germania.

Etrangement la sécurité a tenu à le conduire jusqu’à la salle de conseil. Il eut beaucoup de chance de réussir à passer des flacons d’explosifs sur lui sans que la sécurité ne le voie.

Dans tous les cas il entrât en cherchant bien à se faire remarquer en ouvrant les portes en grand. Puis il avança vers la foule d’un pas déterminé.

« Il ne fait pas les chose a moitié le bougre »

Des murmures s'élevèrent dans la foule. Tous le monde fixait Alois avec de grands yeux. Son accoutrement tranchait singulièrement avec l'ambiance. Le vieil homme regarda le nouveau venu d'un œil de rapace.

Un murmure tout juste assez fort pour qu'il l'entende s'éleva.
- Les employés sont censés être parti. Quoique, je ne suis pas sûre qu'accoutrait comme ça Mérimac l'aurait engagé.
Un rire s'éleva dans l'assemblée.

Alois regarda alors l’assemblée avec un air blasé. Puis il avança doucement vers celui qui avait dit la blague qui avait si bien fait rire ces rapaces. Il prit sa canne et donna un coup sur l’irritant le bousculant au sol, puis il le maintenant au sol avec fermeté du bout de sa canne. Puis avec lenteur il répliqua :

-Ne rigole pas sur moi tu veux, on ne joue définitivement pas dans la même catégorie. Quand tu auras la puberté on reparlera Ok ? Alois remis alors sa canne au sol et se remit an route vers la table. Et puis, à ta place je ne parlerais pas comme ça a celui qui va à sa mort tripler ton salaire, morveux. Après tout tu seras peut-être un jour actionnaire chez moi, si tu as de la chance.Ou si Merimak n'a pas de cervelle.

Alois finit par trouver son siège et s’y assit.

-Aidez le à se relever messieurs, je crains qu’il n’y arrive seul.

Mérimac regarda sa montre à gousset

- 23h14...

Il était temps d'y aller. Il avait adopté un nouveau style : il s'était fait pousser un bouc et avait laisser pousser ses cheveux qui retombait de chaque côté de sa tête. Il était habillé avec un costard noir, un veston bleu, une chemise blanche et une cravate noire avec un trait bleu au milieu.

Il ouvrit la porte et entra dans la salle des membres du conseil menaçait Alois du doigt tandis que d'autres relevait un homme par terre.

- Il fout déjà le bordel...

Il claqua la porte ce qui fit sursauter tout le monde et les fit se tourner vers Mérimac.

- Ils ont finis les gamins ?

Un silence s'installa dans la salle Mérimac se dirigea vers le bout de la table et resta debout devant sa place en posant les mains sur la table.

- Prenez place.

Quand tout le monde fut assis Mérimac prit la parole.

- Désolé de vous faire venir si tard mais comme vous le savez mes horaires sont stricts. Je vous présente Alois O'Hard, actionnaire à 13℅ de l'entreprise. Une fois n'est pas coutume je ne prendrai pas la parole en premier mais la lui laisser pour se présenter, nous enchainerons après. Je te laisse la parole Alois. Dit il en le fixant des yeux.

-Merci. Alois se releva et solennellement  mis une main sur son cœur, Je me nomme Alois O’ hard président fondateur des industries O’ hard, Conte de Drassenblelg, et seconde fortune de Lucios. Je suis ici car monsieur Lothran et moi avons en quelque sorte fait un accord il y a peu, se a quoi suivit une violente gastro pour ce dernier, disant que a ma mort il serait mon potentiel héritier et que donc mes industries lui appartiendrait. Or je conte en participant à ces conseils, vérifier sa capacité à gérer une entreprise, et ses employés. Dit Alois en regardant l’autre jeunot, Et garantir la sécurité de mon patrimoine à ma mort. Je compte sur vous pour respecter vos ainés mais aussi vos donateurs. Car mon premier geste dans cette entreprise sera de donner ce chèque, dit ’il en exhibant bien ce dernier, de cinq cent millions de Dolucios a cet entreprise. Et si je suis satisfait de la suite il y en aura un autre le mois suivant.

Alois se rassit après avoir donné le chèque à Merimac et lui redis l’antenne

- Euh... Merci Alois, nous ferons bonne usage de ce présent. Bien, nous pouvons commencer.

Mérimac appuya sur un bouton et les écrans tout autour s'allumèrent en affichant le logo de l'entreprise.

- Tout d'abord parlons des chiffres. Cette année fut une grande année pour la Arkanyx Productions, nous avons enfin réuni tous les départements dans un seul et même bâtiments et nous venons de dépasser le nombre de 65 000 employés à travers le monde. Malheureusement nous avons observer une baisse de notre bénéfice général qui a atteint les 1.085 milliard de Dolucios alors que l'an dernier nous étions à 1.886 milliard.

Des graphiques s'affichaient sur les écrans et les tablettes avec un détail complet de la situation financière.

- Cette baisse est en parti dû à la construction de la Tour qui à coûté plus cher que prévu et qui n'est d'ailleurs toujours pas terminé. Les ventes de notre dernier gros jeu ont également étaient en dessous de ce que nous avions prévu et à cause du retard de plusieurs projets et de l'annulation d'autres nous n'avons pas pût remonter la barre pour rentrer dans nos frais. Je porte à votre attention aussi que le département "Music" est déficitaire suite aux déboires de certains de nos artistes qui ont entachés nos ventes et du départ de certains de nos artistes.

Mérimac reprit son souffle

- Des questions avant que nous ne continuions ?

-Et bien-moi si. Dit Alois en levant la main. Dans cette situation que contes-tu faire ? Réduire les salaires, licenciés, ou réfléchir a une nouvelle technique de vente ou de conception ? Car de mémoire si tu as une baisse de vente c’est que tu as mal vendus ton produit ou que tu la mal fais. Alois se mit à scruter l’assemblée, Quelqu’un est en charge du marketing ici ou de la production ? Qu’au moins ils nous disent leurs explications.

-A moins que tu leurs a déjà demandé Merimac. Demanda Alois avec un air sérieux

- En effet, nous avons discuté avec nos services marketing et économiques et nous en sommes arrivés à différentes conclusion et solution.Tout d'abord un manque d'optimisation de nos effectifs nous ait apparu comme évident c'est pourquoi je voudrais que vous votiez un plan de restructuration qui devrait sur le long amortir nos coûts. Ce plan passe entre autre par une réorganisation et des licenciements. Le détail complet s'affiche sur vos tablettes. Nous allons également revoir nos méthodes de production afin de réduire au maximum. Un plan allant dans ce sens sera bientôt soumis à vos votes.

Mérimac reprit sa respiration.

- Contrairement à ce que vous semblez insinuer Mr O'Hard, nos produits ne se sont pas mal vendus à cause du marketing mais à cause du manque d'innovation de ceux ci par rapport à l'ancienne génération et à cause de la précipitation dans laquelle nous les avons sortis. Mais nous avons appris de nos erreurs soyez en assurer.

Mérimac prit sa respiration la bombe allait sortir maintenant.

- Comme vous le savez, nous préparons notre entrée en bourse depuis quelques et c'est pourquoi je vous annonce que ce soir à minuit nous y entrerons.

Un minuteur s'afficha sur l'écran géant accompagne de beaucoup de chiffres et de courbes qui apparurent aussi sur les tablettes afin d'apporter toutes les informations nécessaires au Conseil d'Administration.
Il restait 30 minutes avant l'entrée en bourse.

- dans le plan, y a le licenciement de l'autre là, dit Alois en montrant le jeunot, c'est prévus?

- Non ! D'autres questions ?

Une femme habillée en cuir et avec un fouet attaché à la taille pris la parole avec une voix doucereuse et en se passant la langue sur les lèvres tout en fixant Alois.

- Étant donné notre perte de bénéfice. Rentré en bourse n'est il pas risquer ?

- Ne vous inquiétez pas, vu nos récentes promesses envers les consommateurs et nos récentes annonces nous avons redonné confiance aux économistes. Notre action devrait au pire stagner.

Mérimac fixa l'Assemblée.

- Passons donc à nos projets pour l'avenir. Cette année, nous comptons sortir la nouvelle version de notre système d'exploitation, qui est le plus utilisé dans le monde : Ark 12. Il mêle nouveautés et innovations, le tout dans un OS léger et fluide et axé pérformance pour une utilisation dans tout les domaines. Il équipera notre nouvelle gamme de produit Arkmachine : smartphone, tablette, PC, console. Oui, notre nouvelle console de salon sortira cette année et sera clairement orienté vers les développeurs et les gamers puisqu'elle alliera puissance et facilite de développement. De nombreux jeux et exclusivités sont prévus au lancement. Nous comptons également renouer avec nos vieilles franchises en sortant les suites de nos meilleurs jeux. Nous annoncerons également 4 nouvelles franchises AAA et une nouvelle franchise AAAA. Cette année sera aussi l'année de la musique et des films puisque nous comptons sortir une vingtaine d'albums et trois gros films. Nous proposerons également à la vente notre nouveau antivirus : Arkdefender 3.

Voilà, le plus gros était passée.

- C'est maintenant le moment des questions/réponses, je vous écoute.

Encore 15 minutes avant l'entrée en bourse.

-Oui ! Début d’avancée en 9 lettres, quelqu’un a une idée ?

Car oui Alois faisait bien des mots croisés sur sa tablette, et ce depuis qu’Merimac c’était mis a parler des futurs produits. De plus il avait aussi précommandé des systèmes de sécurité Arkanix et des équipements pour Edward et Cédric ainsi que d’autre pour l’usine de bonbons.

-J’ai pensé à Démarrer mais il y a une lettre qui colle pas. Alois se mit en pause pensive en penchant la tête vers l’avant de manière à ce que son chapeau cachait son sourire due à la blague qu’il venait de faire.

- Essaye démarrage. Répondit posément Mérimac.

Le jeune homme qui avait lancé la blague de tout à l'heure ne pût s'empêcher de sauter sur l'occasion.

- Même pas capable de faire un banal mot croisé, et ça se dit important...

Mérimac répondit alors d'une froideur qui fit frissonner les autres membres du Conseil.

- Vous, vous êtes virés et étant donnée que vous êtes désormais étranger à l'entreprise, je vous donne 15 minutes pour partir avant que je n'appelle la sécurité.

- Vous me virez moi alors que l'autre énergumène vous le garder !?

- Oui, mais lui il est riche. Sortez avant que je ne m'énerve.

L'homme se leva en hurlant.

- Ça ne se passera pas comme ç...

Un coup de feu retentit et l'homme s'effondra sur le sol. Une flaque de sang commencée à se former autour de sa tête. La balle avait traversée pile au milieu du front.
Les différents membre du Conseil restait figée à regarder le cadavre.

- Un autre volontaire ?

Silence.

- J'ai dit : un autre volontaire ? Dit Mérimac en posant le pistolet avec le canon encore fumant sur la table.
- Non, Monsieur Lothran ! Dirent-ils tous ensemble.
- Bien. Je ne pense qu'il soit nécessaire de prolonger la réunion. Si vous voulez plus de détails, consulter vos tablettes.

Mérimac se tourna vers le vieil homme.
- Occupez-vous du corps.
Le vieil homme acquiesça de la tête.
- Bien, viens Alois, je dois te montrer quelque chose et nous devons descendre.
- Vous êtes sûre que c'est une bonne idée de lui montrer ? Dit un actionnaire

Mérimac répondit d'un froid et calme, en portant la main à son pistolet.

- Pardon ? Je crains ne pas avoir entendu.
- Rien du tout.
- Bien.

Il rangea l'arme dans son vêtement.

- Suis moi Alois.

« Démarrage… D, E, M, A, R » Pan. Un bruit sourd aisément reconnaissable de coup de feu retentis alors dans la pièce sans qu’Alois ne comprenne pourquoi. IL fut pris alors d’un sursaut, et avant de dire ouf se fit hypnotisé par l’odeur esquisse de sang qui doucement, sournoisement s’emparait de la pièce. Il ne pensait plus qu’a une chose le cadavre au sol. Quelle beauté dans ce liquide, quelle beauté dans ce breuvage. Alois était aux anges ce ne fut que lorsque sa vision fut troublée par le veux, qui se pris le plus grand regard sombre de l’existence. Alois repris alors pied dans la réalité et vu Merimac sortir de la pièce et les autres actionnaires trembler comme des feuilles mortes. Un choix douloureux s’offrait alors, les chiffes molles, ou Merimac ?

Apres trois secondes d’hésitation alois se leva et parti d’un pas tout joyeux après Merimac.

-Et on va où au juste ?

Mérimac se dirigea vers l'ascenseur.

- On descend.

Il appuya sur le bouton pour appeler une cabine et les portes s'ouvrirent de suite. Il entra.
L'ascenseur était pensé pour être moderne, il était fait en une telle matière que l'on pouvait voir la ville qui s'étendait en dessous de la tour. En haut des portes se trouvait un affichage digitalisé des étages et une voix féminine douce s'éleva de sorte que l'on avait l'impression qu'elle émanait de tout les cotes de l'ascenseur

- Bienvenue Mr Lothran.

Mérimac rentra et se tourna vers Alors.

- Tu rentres ?

Alois était très méfiant. Il y avait de quoi aussi, Merimac faisait tout pour instaurer une atmosphère de peur. Alois fit donc le pas fatidique et entra dans l’ascenseur. Il n’accorda pourtant aucun regard à son hôte et regarda par la fenêtre.

D’ici il pouvait voir peu de choses, la tour étant dans le quartier est et n’étant pas très haute, la vue été bouchée par les autres grattes ciels. Mais Alois réussit à voir la mairie, il avait toujours trouvé ce bâtiment magnifique, son architecture faisait ressembler au parlement. Elle était en pierre blanche et un immense dôme la surplombait.

Alois s’imagina faire exploser ce bâtiment, voir de la fumé s’en échappée et ses pierre étalés par terre. Alois se demanda un instant s’il n’avait pas des relents pyromane. Puis il se souvint que oui, et reparti dans son observation.

-Tu n’as pas répondu à ma question, dit ’il toujours sans regarder Merimac, Où allons-nous ? Dans tes quartier pour que tu puisse me violer? finit'il en prenant une pose plutôt exagérée avec un bras derrière la tête.

- Bienvenue Mr O'Hard. S'éleva à nouveau la voix féminine.

Mérimac sourit légèrement à la question d'Alois.

- Il y a de l'idée... C'est bien.

Mérimac appuya sur un bouton et les portes de l'ascenseur se fermèrent. Alors il sortit une clé, l'inséra dans la fente du panneau de contrôle et la tourna. La voix féminine s'éleva encore.

- Veuillez prononcer le mot de passe pour identification vocale.
- Sandwich au vinaigre.
- Identification en cours... Veuillez placer votre main sur le panneau de contrôle.

Le panneau de contrôle de l'ascenseur se transforma en un lecteur d'empreinte digitale. Mérimac posa sa main.

- Veuillez garder la main sur le panneau et regarder la lumière.

Une lumière bleu se fixa sur l'iris de Mérimac.

- Identification en cours... Accès autorisé aux étages inférieurs.

L'ascenseur se mit à descendre de telle façon que les occupants à l'intérieur ne pouvait le sentir.

- Ne t’inquiète pas, dit Mérimac en s'appuyant contre une paroi de l'ascenseur, je ne vais pas te violer comme tu le suggères. Je vais te montrer ce qu'est réellement cet entreprise, et pour ça, nous devons descendre à la "cave" comme j'aime l'appeler.

D'un coup, l'obscurité dans l'ascenseur fut totale et presque instantanément une douce lumière blanche s'alluma.

- Je m'émerveillerais toujours de la vitesse de cet ascenseur. Nous venons de passer sous le niveau du sol.

-Ok … En fait t’a craqué. Dit Alois quand il entendu la voit de l’ascenseur Non mais déjà ta sécurité est déjà beaucoup trop grande, mais en plus tes ascenseurs sont des coffres forts. Alois pris alors une pose pensive et poursuivit. Enfin je te donne cinq points pour l’aspect théâtral du truc. Ca va t’a une bonne moyenne. Enfin j’espère que tu Pourrat faire mieux avec ce qu’il y a l’intérieur. Et puis franchement c'est quoi ce mot de passe.

- Je préfère ne pas plaisanter avec la sécurité vu ce qu'il y a à l'intérieur. Et tu critiques mon mot de passe... Mais y aurais-tu penser ?

L'ascenseur ralentit et s'arrêta tout en douceur, Mérimac prit une voie joyeuse.

- Nous sommes arrivés ! Suis moi je te prie.

Les protes s'ouvrirent sur un couloir au mur blanc brillant. Mérimac avança et arriva devant une porte blindée gardé par deux gardes équipé d'AK-47, de grenades, de tasers et autres armes. On distinguait qu'ils avaient des gilets pare-balles.

- Ouvrez nous la porte je vous prie.
- Oui Monsieur Lothran.

Ils pianotèrent sur un panneau de contrôle et les portes s'ouvrirent.

- Merci, suis moi Alois.

Ils pénétrèrent dans un immense complexe souterrain avec des dizaines de salles.

- Ici se passent toutes les actions en dehors de ce que fait officiellement Arkanyx Entertainment, notamment, tu le sais déjà, la vente d'arme et de drogues. Nous faisons également de vastes opérations de piratages via ce complexe.

Ils pénétrèrent, dans une première salle ou une cinquantaine de personnes vaquer à leurs travail.

- Ici nous concevons et testons nos nouvelles armes : lance-flammes, pistolet-mitrailleur, fusil-mitrailleur, bazooka. Ça c'est les armes chiantes, on en fait des beaucoup plus amusantes ici : missile solarius qui peuvent te raser un quartier en un instant, armes à ultra-sons capable de te tuer toute une unité, gilet pare balle nouvelle technologie, armes automatiques, gaz, balles à tête chercheuse capable de te traverser du béton, tenue anti-flamme, drogue pour immuniser contre la douleur et autres joyeusetés de ce genre. La guerre m'est très bénéfique et je fais tout pour qu'elle dure le plus longtemps possibles. Mais si tu n'as encore jamais vu mes armes, c'est parce que je me refuse à en vendre dans Sainte-Lucile.

Alois avait regardé les vigiles avec un regard méchant, ceci sans aucune raison. Il avait ensuit regarder l’intérieur du sous-sol et y avait alors vu la main de dieu. Des armes, des armes, des armes, toujours plus d’armes. Alois fit alors un rapide calcul : Arme= danger d’explosion donc supers-Armes + nitroglycérine= super explosion. Alois souriait comme un gamin, il avait fait la théorie mais il voulait vraiment tester la pratique, mais était-ce vraiment sérieux ? Absolument pas, mais Merimac devait surement avoir une sécurité énorme en cas d’accident… Et Alois avait vraiment envie de tester, surtout sur le gros truc là, le solarius comme y dit. Alors il prit avec délicatesse un flacon et d’un mouvement ample le lança dans la salle en criant :

- NITROGLYCERINE POUSSEZ-VOUS ! Avec un sourire beat en fermant les yeux se préparant au choc

Mérimac vit d'un coup le monde ralentir. Il devait faire vite. Il observa la trajectoire du flacon et tendit rapidement la main qui se referma dessus. Le monde reprit une vitesse normale.

- Des années d'entrainement pour réussir à faire ça.

Il tendit le flacon à Alois.

- Ne refait jamais ça à moins de vouloir tout faire péter, et si ça pète... Ça ne sera pas que cette étage ou ma tour qui sera touché. Tu comprends ?

Alois leva les bras en l’air et pris une attitude blasée tout en marchant dans ce « sous-sol » :

-Mais dit moi, vieux rabat joie, je ne suis pas expert en immobilier mais cette tour est très récente et l’ascenseur ne permet pas l’arrivée de ses missiles. Alors soit tes chercheurs peuvent créer des millions de missiles en quelque jours, soit tu as une sortie plus grande et dans ce cas où débouche t’elle ?

Durant sa tirade Alois pris une petite balle que Merimac avait décris comme a tête chercheuse précédemment :

-Tu en aurais pour moi ? J’veut dire pour ma collection un pistolet a tête chercheuse…

- Le sous sol s'étend sous beaucoup de bâtiment dont certains de mes entrepôts qui servent à stocker le matériel. Le matériel est désassemblé, entreposer dans mes entrepôts ou ensuite on livre ces pièces aux clients via différentes entreprises fictives.

Mérimac regarda brièvement Alois qui demandait à avoir un pistolet équipé de balles à tête chercheuse.

- Bien sûre tu peux en avoir. Zhu-la ? Occupe toi de la demande de Mr O'Hard.

Une femme avec un carnet surgit alors au côté de Merimac. Elle était en chemise noire et en pantalon blanc.

- Oui Mr Lothran.

Puis elle s'éloigna.

- Mon assistante. Précisa Mérimac. Elle ne me quitte jamais. Maintenant je vais te présenter à nos principaux clients. Une visioconférence avec eux va bientôt commencé dans min bureau du sous-sol. Suis moi.

Merimac arriva devant une porte dans un style très japonais.

- Zhu-la, fait le truc.

L'assistante se mit face à la porte et se mit à danser.

Une voix s'éleva.

- Reconnaissance corporelle terminé.

Et la porte s'ouvrit.

- On peut rentrer.

La femme en blouse avec son carnet perturbait beaucoup Alois, ce qui était compréhensible. Il faut dire qu’elle faisait tout pour avec sa dance ridicule. Il était a la limite d’éclater de rire, vraiment il était a ça de craquer.

- Reconnaissance corporelle terminé.

Et il craqua. Il n’y avait aucun doute que Merimac avait un gros problème avec ses systèmes de sécurité. Alois Riait a gorge déployée, il prit le pistolet avec lui et suivit le patron de ces lieux dans son repère SI sécurisé. Non sans donner un grand coup dans le dos a ce dernier en disant :

-T’as vraiment craqué mon vieux. Avec difficulté a cause de son rire. Parce que vraimant, entre sandwich au truc nuch là, et le le… Truc de ta folle dingue de secrétaire. T’était drogué avoue le ! Je veux dire si je la tue là tout de suite, tu ne pourras plus jamais entrer dedans, non ?

Alois Tenta de se reprendre, et avança dans la pièce pour, enfin, rencontrer les clients de son fils.

La remarque d'Alois avait fait réagir Merimac. Il tapa dans ses mains comme s'il avait eu une révélation.

- Zhu-la ! Prend note ! Prévoir une autre entrée pour ma salle !

Puis Mérimac rentra dans la salle. Zhu-la referma la porte. La salle aussi était dans un style très japonais avec au milieu une table basse sur laquelle il y avait une théière et deux tasses de thé. Une chose qui contrastait avec le reste de la salle était un grand animal empaillé à côté d'un mur, il avait été mis sur ses deux pattes arrières. Une télé avec le logo de Arkanyx Entertainment était accrochée au mur en face de la table.

- Je te présente Pong-Pong. Un ornythorinque géant. Dit-il en désignant l'animal empaillé.

Zhu-la s'approcha de Mérimac et chuchota à son oreille.

- Ils vont avoir un peu de retard Monsieur.
- D'accord.

Puis Mérimac regarda Alois.

- Tu sais, je pense vraiment à faire une autre pièce pour y mettre un jacuzzi. Mais peu importe, comment va ta vie sexuelle ? Dit Merimac avec le plus grand sérieux.