conseil d'administration

Alois portait un costume rouge, sa chemise était noire, ainsi que son pantalon mais le reste était rouge, il portait un manteau ample rouge aussi, avec des décorations noire en forme d’ailes. Il se tenait face a la vitre qui donnait sur les cheminés de l’usine, soit dos a ses actionnaires, ou plutôt ses pions.
La pièce était plutôt grande , une grande table se plaçait en son centre , d’un coté il y avait une fenêtre, pas aussi imposante que celle du bureau des tours O’hard , mais tout de même grande , deux statue l’encadrait : a droite un ange a moitié nue qui tenait dans sa main une lance au bout de laquelle virevoltait un drapeau, et de l’autre coté un démon habillé en roi qui tendait une main au ciel alors que son autre main tenait une épée avec l’aide de sa queux qui s’enroulait autour . De l’autre coté de la pièce se trouvait une porte en bois, ou les poignées étaient décorées avec deux superbes « A » majuscule en or massif. Le sol était en marbre et au plafond pendait un lustre de Crystal. Les murs des cotés était symétrique avec des colonnes qui renforçait l’atmosphère oppressante de la pièce.

Tout les actionnaires était assit a leur place mais une nouvelle chaise avait apparue a la droite du fauteuil d’Alois, soit du coté gauche de la pièce et donc derrière la statue de démon.

Les conseillers attendaient que leur patron leur donne la parole depuis environ un quart d’heure, quand un d’eux se leva avec respect pour son supérieur, et lui demanda :

-Monsieur, ne devrions pas commencer la réunion ?
Ce a quoi Alois répondis avec un sourire fier de l’effet qu’il avait produit :
-Nous attendons quelqu’un.

Cela faisait presque un quart d'heure que Mérimac arpentait les couloirs des industries O'Hard, il recherchait la salle du conseil d'administration ou il devait siégeait pour la première en tant que membre mais aussi en tant qu'actionnaires et potentiel héritier des industries. Un statut qu'il avait acquis d'une étrange manière d'ailleurs... Mais là n'est pas le sujet. les couloirs lui semblait durer des kilomètres.

-C'est officiel, je suis en retard Pensa-t-il.

Il partit d'un grand rire qui résonna dans le couloir vide

Mérimac n'avait rien changé à ses habitudes vestimentaires, chemise blanche, costard bleu et cravate rouge. On pouvait voir la chaîne de sa montre à gousset qui était rangée dans l'une de ses poches. seul changement par rapport à d'habitude, il avait les cheveux coiffé en arrière et s'était laissée poussait la moustache et la barbe.

-Il ne pouvait pas mieux m'indiquée le chemin ?

Même s'il était en retard, Mérimac ne pressait pas le pas et marchait d'un pas posé et calme.
ce n'est que quelques minutes plus tard qu'il trouva enfin la fameuse salle. une porte à double battants était devant lui et en lettre d'or on pouvait lire "Salle de réunion".

Enfin !

Il ouvrit la porte et rentra, devant lui, une salle luxueuse qui tranchait par rapport au reste des industries. Des statues, du marbre, du crystal...

-Bah ! Il ne changera jamais.

Les autres actionnaires était déjà-là et il regardait le nouvel arrivant avec l’œil de celui qui ne comprend pas. Mérimac entendait les murmures qui parcourait la table : "Qui est-ce ?", "Que fait-t-il là ?".
Il marche dans la salle et repéra la seule chaise qui était libre, à côté d'un fauteuil qui devait être celui d'Alois qui attendait. Il s’installa et posa devant lui une tablette numérique afin de prendre des notes. Il balaya l'assistance d'un regard.

-Bonjour messieurs, je suis Mérimac Lothran, patron de Arkanyx Entertainment, actionnaire à 18% des industries O'Hard, membre du Conseil d'administration des industries Ohard et potentiel héritier de la famille O'Hard. Mais vous pouvez m'appeler Monsieur Lothran.

Il venait de jeter un froid sur l'assemblée qui semblait totalement effarouchée.
Mérimac se tourna vers Alois.

-Nous pouvons commencer ?

-Mais bien sur. Répondis Alois avec gentillesse avant de s’assoir.

« Il pourra se moquer de moi pour mon attitude excentrique, mais on voit qu’il aime bien marqué ses entrée lui aussi » Alois s’instala donc a son tour a sa place


-Comme monsieur Lothran vous la dit, il est votre supérieur hiérarchique au vue de son titre de président directeur général par intérim, en revanche ce n’est pas la peine de lui obéir il n’a presque aucun appuis sur la production. Alois fit une pose pour laisser à ses actionnaires d’accepter l’information.  Et juste avant que l’un d’eux n’ouvre la bouche il expliqua : Et vous ne pourrez rien y changer. Monsieur Tzern, le point a l’ordre du jour je vous prie.


Un jeune homme se leva et d’une voie tremblante se mit à lire une feuille qu’il avait posé sur son bureau :


-Heu… La …LA construction d’un magasin au centre ville. C’est une proposition qui a été évoqué par notre département de communication le vendredi cinq novembre.


-Et a combien s’élève les prix de construction ?
Demanda une Vielle femme avec des petites lunettes


-Ce n’est qu’une proposition il n’on rien prévus d’autre.


-quelqu’un a des connaissances en construction ?

demanda Alois a ses conseillers, qui répondis tous en tournant la tête vers la seule personne qui n’avait pas rependus immédiatement , Merimac

-Attendez, attendez... vous voulez dire que vous, au conseils d'administration, vous ne vous renseignez même pas sur les projets que vous soumettez ? C'est une blague ?! Cria Mérimac dans la salle et en faisant sursauter plus d'une personne.

Il se leva de sa chaise et se mit à tourner autour de la table tout en criant.

-Bande de vieux débris ! Vous servez si c'est juste pour proposer ce genre d'idée à la mord-moi-le-nœud ! Vous pouvez être sûre que si je suis choisis comme héritier je vous virerez tous si vous ne faîtes pas plus d'effort. Vous coûtez de l'argent à l'entreprise et vous ne faîtes apparemment rien en retour.

Après s'être énervé pendant 5 bonnes minutes Mérimac se rassit et reprit ses esprits.

-A mon avis il n'est pas utile de construire un magasin spécialement dédié aux bonbons O'Hard, de ce que j'ai vu des feuilles administratives et des relevés bancaires, nos bénéfices sont suffisamment élevé. Construire un magasin ne servirait à rien, les petits revendeurs vendent déjà très bien nos bonbons et je pense que le sucés d'un magasin spécialement pour les bonbons O'Hard est très limité.

Mérimac regarda les différents membres du conseil 'administration puis se tourna vers Alois.

-Mais c'est à vous de prendre la décision.

-C’est trop aimable de ta part. Alois regarda son futur héritier puis ses conseillers d’un air maussade. Le fait que ses conseillers, qui étaient sensé avoir plus d’expérience qu’un jeunot de 24 ans, avait perdus totalement toute crédibilité devant Merimac. Et ceci au premier jour.

-Bon vous avez entendus, Dit Alois à ses actionnaires, vous ne servez à rien. Alors pourriez-vous sortir je vous prie ? Devant la non-réaction des concernés, Alois pris sa canne dans sa main et la pointa sur l’assemblé avec un pure esprit théâtral. Si vous ne partez pas comprenez ceci :Votre présence trouble cette pièce je pense qu’une exécution serait le bienvenu non ? Ceci dans le seul but de les faire partir le plus vite.

Ce qui ne tarda pas, les membres de l’assemblée se bousculaient entre eux s’entrechoquaient et se marchaient dessus pour certains. Un brouhaha régnait dans la pièce durant quelque minute, le temps que les plus âgés s’échappent.

Quand la population de la pièce se stoppa a deux, Alois se permis de replacer sa canne sur le sol et de jouer avec le pommeau de ses doigts. De son autre main il ressortit trois dossiers.
L’un portait le nom de Lord Ludovic Hard, l’autre de Héléna Van Hard, Bartolomé De Hard.

-Alors pour ton premier mois tu ne vas commander personne ici, tu vas juste apprendre les fonctionnements des industries O ’hard.En premier lieu Il faut que tu sache le fonctionnement du réseau O ’hard, vue que tu as de grande chance d’être a sa tête un jour. Dit Alois avec une pointe de tristesse. En fait nous nous cachons sous différentes industries, et en quelque sorte je suis le propriétaire de chacune d’entre elle, Mes cousins ne sont que mes représentants. Puis il regarda Merimac dans les yeux. Ceci explique donc comment je fais pour avoir autant d’argent. Alois fit une petite pause. Aujourd’hui le réseau n’est plus aussi puissant que jadis, nous possédions des centaines de filiales, mais vue qu’il repose sur l’industrie le réseau a eu du mal à ressortir de la crise, désormais nous n’en avons plus que quatre. Je ne te cache pas que le meurtre de mon père y est aussi pour beaucoup.

Alois ouvris le dossier de Ludovic, où n pouvait voir différentes photos d’un homme plutôt vieux avec un long nez et une silhouette mince et filandreuse, ainsi que des photos d’une usine de jouet en brique avec une architecture plutôt similaire à celle des bonbons O’ hard. Ceci avec différents articles de journaux traitant de Viol sur mineurs.

-Je te présente mon oncle, je te laisse lire le dossier et me poser des questions.

Mérimac feuilleta le dossier.

- Viol sur mineur ? Dit-il en fronçant les sourcils ? Bon passons, je suis plus à ça près avec toi.

Mérimac ne pût s'empêcher de poser une autre question.

- Quels sont tes différents projets industriels ?

Alois ouvrit le dossier d’Helena où on pouvait voir une photo de fonderie et d’une femme a l’apparence autoritaire, en répondant à Merimac :

-Et bien de mémoire il y a l’ouverture d’une nouvelle usine à Nacropia, maintenant créer un nouveau conseil d’administration, et ce bonbon, dit Alois en sortant une valise et en l’ouvrant, laissant voir un bonbon allongé avec les couleurs de l’arc-ciel. J’espère qu’il fonctionnera… Tu veux gouter ? Demanda-t-il à Merimac.

Mais avant qu’il puisse lui faire passer la valise, la porte s’ouvrit d’un coup sec, et une femme avec les cheveux teint aux couleurs de l’arc en ciel lui descendant jusqu’aux milieux du dos, portant une blouse blanche et une chemise noire arriva. Elle avait des Yeux vert et le visage fin elledit un peu essoufflé:

-Désolé pour le retard ! Mais j’avais un réticent dans la zone P et… Elle fit une courte pause en regardant Merimac et Alois, Pourquoi vous êtes que deux ? Et surtout vous êtes Qui ?

Alois sériât avant que Merimac ne puisse répondre :

-Diane ! Enfin ! Puis il vit les taches de sang qu’elle avait sur la manche droite et lui fit signe de s’approcher. Quand se fut Fait il les huma et dit : Laisse-moi deviner… un journaliste ?

-Non un instituteur, tu te fais vieux patron.

-C’est bon j’ai encore de la marge, Puis il se tourna vers son presque fils et dit, Je te présente Diane Rain-Blow, Elle est en charge de la Zone A et de la Zone P.

Diane Tendis son bras vers Merimac avec un grand sourire

Mérimac tendit la main.

- Mérimac Lothran, patron de Arkanyx Entertainment.

- De mieux en mieux...

Voilà qu'il discutait de meurtre d'instituteur avec une personne qui arrive sans même se présenter ou taper. Mais il fallait bien avoué que il savait choisir ses employées, elle était plutôt mignonne dans sa blouse blanche et dans sa chemise noire. Et elle avait de très beaux yeux.

- Et pourrais-je savoir pourquoi vous nous avez rejoint charmante créature ?

-Charmante créature ? … Diane rougie un petit peu sous la remarque de Merimac puis lui répondit de manière sarcastique. Pourriez vous, je vous prie, retenir vos spermatozoïdes dans votre slip ?

Alois rigola un petit peu sous la remarque de Diane. Mais sa remarque passée, Diane se désintéressa de suite de l’homme en costume bleu. Elle Sortit une fiole d’on ne sait s’où contenant un liquide bleu.

-Les chercheurs ont par un hasard étrange découvert ça, et n’on aucune idée de ce a quoi il sert.

-Et tu veux que j’en fasse quoi ?

-Que tu me permettes d’emprunter de tes ingrédients… Demanda-t-elle avec un air de chien battu.

-Hum… Notre liste n’est pas grande aujourd’hui… Alors ce sera non !

-Mais heu… Elle se mit à bouder et regarda avec un air étrange Lothran. Elle se déplaça lentement derrière lui. Mais avant qu’elle ne l’ait atteint Alois fit un rapide mouvement et assomma Merimac de sa canne. Diane resta bouche bée devant ce qu’elle vit.

-t’as le droit de le prendre lui, si tu veux. Dit Alois avec un sourire espiègle qu’aurait un enfant de cinq ans avec une peluche.

Diane lui fit un clin d’œil et força Merimac à boire le produit. Ils se mirent alors à attendre le réveil de L’endormi.

La dernière choses dont se souvint Merimac fut le choc de sa joue contre le sol. Le salopard d'Alois l'avait attaqué par surprise. Mais ça se fut avant qu'il ne sentit sa pensée partir loin, comme si son esprit sortait de son corps.

- Qu'est ce que tu m'as fait...

Puis ce fut le noir.

Merimac ouvrit lentement les paupières.

- Pourquoi le sol est aussi proche de ma tête ?

Il se releva et regarda les personnes dans la pièce. Son visage s'illumina.

- Alois, mon copain !

Il enserrant Alois dans ses bras.

- Tu sais j'ai pensé à un truc, on pourrait faire une invention tout les deux. Un truc qui nous permettrait de communiquer l'un l'autre peu importe ou nous sommes. On appellerait ça : la communication à distance.

Merimac relâcha Alois et se balada dans la pièce.

- Tu as de magnifique statue, mais je pense qu'en les peignant on aurait de meilleur résultats, tu ne penses pas.

Il regarda Diane :

- Vous me faîtes pensé à un joli papillon des faunes du Sahara vous savez ?

-7

-Valet

-Valet

-As

-Rhaaaa ! Encore perdu.

-C’est parce que tu ne triche pas correctement… Il faut que tu puisses avoir accès à tes cartes rapidement.

-Comment tu sais que je triche.

-Un bon tricheur reconnait ses pairs.

-Pardon ?

Alois et Diane jouaient aux cartes le temps que Merimac ne se réveille. Mais à un moment tout a fait inattendu il finit par se réveiller. Alois lui le pensant dans le coma se préparait à l’emmener a l’hôpital. Mais les paroles qu’il fit laissa bouche bée. Puis Merimac se jeta sur lui et dans un sourire diabolique dit a Diane :

-Tu as préparé un Antidote ?

-O-Ou-ou-i je crois. Répondît ‘elle troublée

-Tu me le mets dans le coffre et il n’a jamais existé. Pusi il se tourna vers son fils et dit : Je t’aime Fils !

Mérimac pencha la tête sur le côté comme s'il ne comprenait pas.

- Lolo tu m'excuseras mais je dois nourrir les grenouilles-chèvres.

Mérimac vit une mouche volait près de lui.

- Une grande ligonrée carnivore ! Cours !

Mérimac courut, se prit le mur et s’assomma.