[ceci est ma participation pour la fête de nawel.]
La salle de bal, la pièce qui a coûté le plus cher a Alois pour la construction de la tour O ‘hard. Elle était située au sommet de celle-ci. Plutôt longue et haute, elle était faite à la manière d’une véranda gigantesque, de haute fenêtre donnait sur toute la ville un dôme de verre la surplombait et, attaché à ce dernier, pendait un lustre immense qui éclairait toute la pièce, aidé par des lampes placée sur les murs. Le sol en marbre brun était parsemée d’armature métallique en or, qui formait une fresque complexe qui finissait par l’Etoile a quatre branche, symbole des O ’hard et de leur puissance. La seule porte de la pièce était en chêne massif et avait été sculpté par un maitre en la matière, tant sa superbe était éclatante.
Alois se tenait au centre de la salle au près d’une table placé à ses cotés sur lequel trônait une tasse de thé don une fumée s’échapper. A ses pieds dormait dans son panier, qui lui-même avait une décoration extrêmement bien faite, ____________ don le pelage blanc mouvait comme des blés au souffle de la brise avec ses mouvement de respiration. Alois lisait un livre calmement, chose rare pour lui. De toute façon il venait juste de bruler un stagiaire à vif, ce qui l’avait bien défoulé, ensuite il s’était changé, avait diné, puis avait pris un petit thé en lisant un livre.
Primus et Amelia était partis en congé tous les deux, se Rose elle devait déjà dormir à l’heure qu’il est. En d’autre terme Alois était tout seul.
Alois se rendait compte alors que la théine n’avait pas un effet extrêmement grand tant il avait du mal lire son livre en restant réveillé. Rien que dire de quoi parler le livre était une épreuve extrêmement ardue pour lui. Alors qu’Alois allait s’écrouler sur son siège, une voie douce et extrêmement gentille chuchota à son oreille :
-Tout va bien mon ange ?
Chose qui réveilla de suite Alois qui se retourna d’un coup pour voire une personne plutôt grande en robe de soirée.
-Maman ?
-Ha ! Et moi qui avais peur que tu m’oublie. Déclara la dite « mère » en toute simplicité.
-Mais tu es sensé entre morte, je t’ai tué ! Tu… tu avais au moins cinq balles de plomb dans les poumons. Paniqua Alois.
La mère d’Alois pris alors une pose sensuelle en s’asseyant sur la table et mis son poing sous son menton.
-C’est bien le cas, je ne suis qu’une Émérence funèbre vagabondant dans les limbes en espoir de vengeance. Puis en voyant le regard dubitatif de son fils elle ajouta : Un fantôme quoi !
Alois échappa alors un long « HA » de compréhension plutôt long, avant de dire :
-Et qu’est que tu fous là au juste ? D’un air plutôt blasé.
-Attend… Je suis un fantôme tu as saisi le concept.
-En effet … et alors.
-Et ça ne te fait rien ?
-Je peux y faire quelque chose ? Demanda d’en un espoir Alois.
-Non ! dit ’elle catégoriquement.
Elle se leva d’un bond et voulut faire les cents pas mais fut bloquer par un boulet a ses pied. Alors qu’elle jurait contre ce dernier, Alois demanda si s’était la nouvelle mode dans l’au-delà. Ce à quoi elle répondit que s’était sa punition. Alois allait demander pourquoi il fallait qu’elle soit punie quand elle se mit à le pointer de doigt en s’écriant à qui veut l’entendre :
-Alois, tu as choisi la vie d’un homme égoïste, et avare…
-Et c’est toi qui dis ça ?
-Chut ! Je fais mon speech ! Ce pourquoi pour tenter de te faire changer de voie, trois esprits vont venir te voir ce soir ! Pour t’enseigner l’esprit de noël.
-Et s’est sensé m’aider à ne plus être avare ? Alois fit une courte pause avant de reprendre, D’ailleurs d’où tu sors que je suis avare ? Tu as vue ou j’habite ? demanda Alois en montrant la salle où ils étaient.
-J’en sais rien moi, je suis juste sensé te dire ça ! Cria t’elle furibonde, avant de disparaitre dans un mouvement de fumée.
-En tout cas elle n’a toujours pas appris la politesse. Déclara Alois avant de reprendre sa tasse de thé et d’en boire un gorgée.
[la suite arrivera dans la semaine]