/!\ Dans un vieil entrepôt des industries O ’hard se tenait une table d’opération sur laquelle se tenait un homme, plutôt jeune, entièrement dévêtu. Il était attaché aux poignets et aux jambes. On voyait à ses marques, qu’il avait tenté de se défaire des liens. Il haletait et était couvert de sueur, cette dernière faisait coller son corps a la surface métallique de la table. A ses cotés se trouvait tout un attirail d’outils, certains coupant d’autre qui servait à étaler une sorte de mousse.
Quand soudain, un autre protagoniste fit son apparition, il tenait dans sa main une canne qui le caractérisait si bien, un long manteau bleu ainsi que des gants de cuirs, sa chevelure rousse faisait des mouvements gracieux et hypnotique au rythme de ses pas. Seul résonnait les pas et le son de la canne, ceci avec un tempo lent précis. Quand l’homme habillé arriva au niveau de l’autre, il se pencha et murmura d’une voix rauque, que certain pourrait considérer comme érotique :
-Je voudrais que tu ne bouges pas trop, tu pourrais te blesser.
Ceci fit sortir de sa léthargie le garçon allongé qui se mit à chantonner de sa petite voix, et bougeant de toute part, comme un petit moutons de poussière sur laquelle ont soufflerait :
-libérait moi, je vous en prie je ne dirais rien à personne, je le jure !
L’homme à la main gantée, posa cette dernière sur son front et lui souffla que tout aller bien se passer. Puis de son autre main il attrapa une paire de ciseaux ainsi qu’un peigne, et se mit à délicatement couper les cheveux, avec le son relaxant de l’entrechoquement des lames, en faisant tomber des mèches partout sur le sol.
Quand il eut décidé que la longueur de cheveux était bonne il entreprit de placer de la crème à raser sur le crane de sa victime, lentement il descendit sur son visage, ceci sans oublier les sourcils, puis sur son torse, ses bras, ses jambes, puis l’entrejambe du nombril jusqu’au bas du dos. A la suite il prit un rasoir extrêmement bien aiguisé et refit son parcours avec une attention quasi maniaque. Quand le garçon sur la table n’eut plus aucun poil qui pourrait cacher sa peau, ce dernier se permis de verser une larme de panique. Larme vite rattrapé par une langue habile passant sur sa joue, puis se dirigeant vers l’oreille :
-Maintenant ça va être un peu plus douloureux, roucoula le manieur de lames en mordillant l’oreille délicate.
Le propriétaire de la dite oreille fit résonné un sanglot cristallin, la sonorité de ce dernier résonna dans tout la pièce, ce qui fit apparaitre un sourire démoniaque sur les lèvres du petit diablotin roux. Qui, d’un geste impatient, plaça un objet étrange dans la bouche de l’épilé, objet qui semblait l’empêcher de fermer la bouche. Le monstre pris alors une pince et attrapa une des dents de devant avec délicatesse. Puis, avec cette fois ci moins de délicatesse, arrachât sauvagement la dent, arrachant un cri de douleur, a la sonorité magnifique, au patient. L’homme a la canne poursuivant son opération jusqu’à ce qu’il n’y a plus aucun moyen pour l’autre de mâcher, et ceci pour toute sa vie.
Par la suite l’homme aux iris désorganisés, Pris un autre objet coupant, et coupa avec attention, les lèvres, laissant se déverser une coulée de sang dont l’odeur le fit monter au ciel. Mais hélas un mouvement d’inconfort de la part de l’atrophié fit déraper l’outil et fit une entaille sur la peau. On aurait pu croire que le tortionnaire aurait pu être pris d’une colère et aurait pu mettre fin aux jours du malheureux, Mais il n’en fit rien, au contraire, il le félicita d’avoir pris des initiatives, puis retira ses gants et pinça l’entaille dans le but d’en attraper le bout .Quand ce fut fait, le roux tira dessus et retira par ce fait la peau de visage. Le torturé criât comme un fou, puis se mit à pleurer toute les larmes de son corps, laissant le champ libre pour l’atrocité qui se tenait en face de lui. Cette dernière ne se fit pas attendre, et arracha le reste de la peau du visage en un rien de temps.
Du sang coulait partout autour de la tête, faisant une auréole rouge à l’homme dont la chair était à l’air. Les pleures de ce dernier se diluait à son sang et les larmes entraient dans les muscles faciaux redoublant ainsi sa douleur. Le monstre poursuivra son œuvre en arrachant les oreilles avec un sourire de démence totale, alors que la victime mourait d’hémorragie./!\
[HRP]Nous couperons la suite de la scène. Pour que vous voyez le délire, à la fin la victime se fait désosser et sa chair est déchiquetée, Ses os irons dans les bombons crocodiles, pensez-y en voyant un enfant en manger, sa chair et le sang irons pour un repas pour Alois O ’Hard.
La morale ? Ne soyez pas journaliste au près des industries O ’hard. Bonne journée[HRP]
